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Lumière, horizons, mer, palmiers et citrons. L’empreinte de Klein, Cocteau ou encore celle du grand Pablo résonnent tel un hommage dans les oeuvres de Franck Lebraly.

Peindre des paysages méditerranéens, des scènes du quotidien, fragments d’un sud suranné où la lumière efface les formes féminines et les lignes pures. Les éléments s’imbriquent entre eux pour ne faire qu’un.

Peindre devient une passion. Sur les murs, les plafonds, les assiettes, les toiles.

Ses parents, natifs de Casablanca et d’origine sicilienne, s’installent à Cannes dans les années 70.

Il passe son enfance entre les restaurations d’objets d’art de son père et l’ébénisterie familiale. L’art et la Méditerranée occupent une place centrale.

Une ode à la simplicité, au toucher, à la lumière et aux couleurs. Peu nombreuses, primaires, sans ajout. Elles traduisent la densité de la mer, du ciel, la luminosité éblouissante ou le sombre de la nuit.